« Après avoir étudié, enregistré et diffusé l’intégrale des symphonies du compositeur de Bonn, – qui finit avec l’impactante 9e symphonie –, nous voici au terme de notre projet « Beethoven Revolution ». Notre cycle culmine avec sa Missa solemnis, un des trésors les plus incalculables de l’esprit, composé entre 1819 et 1823, « dans laquelle », comme le dit si bien Romain Rolland, dans son livre incontournable sur Beethoven, « un maître souverain de l’art des sons y a déposé le plus profond de sa grande âme, avec une sincérité absolue. C’est, peut-on dire, le Testament de toute sa vie, écrit au faîte de la vie, en pleine vigueur, et enrichi d’une poignante expérience. »
Ce qui m’a toujours fasciné à propos de Beethoven, outre la puissance de son langage, c’est que sa musique s’adresse à chaque être humain, qu’importe son origine, sa classe ou ses croyances et elle n’est plus composée pour satisfaire exclusivement l’élite aristocratique ou cléricale…» + d’informations dans le livret du CD
ALIA VOX
AVSA9956
Total : 76’19
LUDWIG VAN BEETHOVEN
Révolution
MISSA SOLEMNIS
Op. 123 (1819-23)
Pour quatre voix solistes, chœur, orchestre et orgue en ré majeur
For four solo voices, chorus, orchestra and organ in D major
Para cuatro voces, coro, orquesta y órgano en re mayor
I. / 1-3. Kyrie 11’30
II. / 4-10. Gloria 6’17
III. / 11-17. Credo 6’53
IV. / 18-22. Sanctus – Benedictus 15’39
V. / 23-27. Agnus 11’36
Lina Johnson, Olivia Vermeulen, Martin Platz, Manuel Walser
LA CAPELLA NACIONAL DE CATALUNYA
LE CONCERT DES NATIONS
Lina Tur Bonet premier violon et violon solo
Direction : Jordi Savall
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« Après avoir étudié, enregistré et diffusé l’intégrale des symphonies du compositeur de Bonn, – qui finit avec l’impactante 9e symphonie –, nous voici au terme de notre projet « Beethoven Revolution ». Notre cycle culmine avec sa Missa solemnis, un des trésors les plus incalculables de l’esprit, composé entre 1819 et 1823, « dans laquelle », comme le dit si bien Romain Rolland, dans son livre incontournable sur Beethoven, « un maître souverain de l’art des sons y a déposé le plus profond de sa grande âme, avec une sincérité absolue. C’est, peut-on dire, le Testament de toute sa vie, écrit au faîte de la vie, en pleine vigueur, et enrichi d’une poignante expérience. »
Ce qui m’a toujours fasciné à propos de Beethoven, outre la puissance de son langage, c’est que sa musique s’adresse à chaque être humain, qu’importe son origine, sa classe ou ses croyances et elle n’est plus composée pour satisfaire exclusivement l’élite aristocratique ou cléricale…»